Pianiste-concertiste, compositeur, guitariste, flûtiste, jazzman, éditeur, graphiste, auteur de BD, peintre, chanteur (ACI), cinéaste-réalisateur, poète, pédagogue, thérapeute.
Méthode de travail à l'usage des musiciens
Lorsque j’étais au conservatoire jamais aucun professeur ne m’à fourni de méthode de travail pour apprendre les morceaux ou perfectionner tel ou tel passage. Les seules injonctions que j’ai pu recevoir parfois de part et d’autre était de répéter, répéter, répéter… Le rabâchage est quelque part une tendance innée et ancré dans l’éducation. Toute une génération de vieux professeurs le pratiquaient et le portaient aux nues comme la seule manière d’apprendre de façon efficace. Ne disait-on pas « 100 fois sur le métier remettez votre ouvrage ». N’étant pas de nature un gros travailleur et apprenant de façon relativement rapide je n’ai jamais été adepte de cette technique. Mais ma manière d’apprendre restait très aléatoire quant à sa forme. Lorsque je suis devenu professeur de piano le problème s’est posé de façon beaucoup plus aiguë. Les élèves ne savaient évidemment pas comment travailler, pour la plupart ne voulait pas travailler entre les cours qui se déroulaient de façon hebdomadaire et l’impératif était, bien entendu, de leur faire apprendre un morceau. J’ai donc au fil des années mis au point une méthode d’apprentissage qui visait à être le plus efficace possible avec un minimum de travail et de temps passé. J’avais au collège un professeur de mathématiques m’avait dit qu’il fallait être « intelligemment paresseux ». J’ai concrétisé à travers cette méthode cette philosophie qui allait tout à fait dans le sens de l’inclinaison de la grande majorité de mes élèves et de la mienne en tant que pianiste concertiste bien sûr. J’y suis parvenu et voici donc le fruit d’une expérimentation permanente menée d’une façon très scientifique.
Cette méthode n’est en aucune façon un manuel pour travailler la technique. Elle donne une façon très précise d’apprendre la musique, c’est-à-dire créer des automatismes et des réflexes afin de pouvoir reproduire une séquence musicale du début à la fin avec le moins d’erreur possible. À cette fin élève doit être capable de réaliser techniquement ce que le morceau réclame.
Évidemment la répétition est à la base de l’apprentissage voire l’amélioration d’un passage ou des passages d’un morceau. Mais fondamentalement quelle est la façon la plus efficace et la moins onéreuse de répéter pour parvenir à interpréter la totalité d’une pièce quasiment sans erreur et d’une façon assez sûre ? La problématique est surtout de savoir comment répartir, entre autres, les répétitions dans le temps. Le travail c’est de la répétition et du repos. Comment les répartir de la manière la plus efficace ?
Premier principe de base : bannir le rabâchage. Pourquoi ? Car l’on s’aperçoit que lorsque l’on répète un passage plusieurs fois sans discontinue, passage assez court pour ne pas se tromper, on peut le faire de 3, 4 fois mais que par la suite on commence à se tromper, à faire des erreurs et on finit par ne plus pouvoir le jouer. Grosso modo le cerveau ne peut pas répéter plus de 3 voire 4 fois le même passage sans erreurs qui interviennent par la suite. Après il sature et plus on persiste à répéter pour se rassurer que l’on est toujours capable de jouer le passage et plus le nombre d’erreurs augmente, la fatigue et l’énervement aussi par la même occasion et la capacité de changer quoi que ce soit en vue d’améliorer ce passage diminue de plus en plus fortement jusqu’à une rupture brutale qui est le signe évident d’un « ras-le-bol » plus ou moins important. C’est une spirale infernale dans laquelle il faut éviter de tomber et qui est tout à fait contre-productive car les erreurs que l’on finit par faire s’enregistrent dans le cerveau et ceci d’autant plus qu’à force de répéter, on répète ces mêmes erreurs voire on n’en crée d’autres si l’on persiste dans ce sens. Et plus on répète ces erreurs plus elles sont ancrées dans la mémoire et d’autant plus difficiles à se débarrasser.
Pour se rassurer sur le fait que l’on est toujours capable de jouer un passage que l’on savait et que les répétitions trop nombreuses ont détérioré, il suffit de s’arrêter un moment et vous verrez que vous savez toujours le jouer. Un passage enregistré correctement reste intact dans la mémoire. Sauf si celui-ci est trop frais et que les répétitions trop nombreuses ont pu déformer.
Le cerveau est ainsi fait qu’il enregistre très vite les bons comme les mauvais réflexes et sature très rapidement si on lui impose une répétition systématique d’un même élément. Il en découle une augmentation progressive des erreurs car on perd progressivement le contrôle de ses gestes avec la fatigue qui s’ensuit.
Ainsi découle le second principe de base : essayer dès les départs pour apprendre un morceau, un passage, de sectionner celui-ci en petites cellules assez courtes, afin de les jouer facilement et sans erreur et ceci dans un tempo assez lent pour pouvoir contrôler ses gestes. Si il y a erreur on peut en répétant trois voire quatre fois la corriger. Mais si elle persiste il faut éviter à tout prix de s’entêter. La manière la plus efficace d’effacer une erreur, des erreurs est de s’arrêter de jouer ce passage pendant un temps plus ou moins long selon l’ancrage de ces dernières. Plus on insiste plus les fautes se cristallisent dans la mémoire. Si vous y revenez quelque temps après, le cerveau a en quelque sorte ramollit les réflexes et vous pouvez à nouveau beaucoup plus facilement corriger ces erreurs. Entre-temps il s’est reposé. Si vous avez du mal à vous en débarrasser revenez-y le lendemain. Vous verrez que les choses seront plus faciles.
Le cerveau ne peut gérer qu’une chose à la fois. La chose intégrée, on peut rajouter un autre élément. C’est pour cela qu’il faut couper le morceau ou le passage en cellules simples, faciles à jouer quasiment immédiatement.
Pourquoi apprendre aussi par passages ? Car sinon on sait toujours beaucoup mieux le début, puisque évidemment on commence par le début du morceau, et progressivement la suite du morceau est de moins en moins dans les doigts. Ce procédé permet d’apprendre de façon égale la totalité du morceau.
Autre principe très important donc : limiter vos répétitions consécutives à 3 voire 4 maximums d’un même passage. Si cela ne suffit pas pour le réaliser sans erreur, réduisez le passage en cellules plus petites car il est peut-être trop long ou passez à autre chose et revenez-y ultérieurement. Il faut changer souvent de passage à travailler pour éviter les répétitions trop nombreuses qui sont un de vos ennemis principal. Pour consolider un passage au revenez-y plus tard et refaites-le trois à quatre fois maximum.
Faites chaque passage lentement de façon à jouer 3 fois celui-ci sans erreur avant de passer à autre chose. Si dans vos trois ou quatre répétitions vous n’avez pas réalisé les trois fois sans erreur, attendez un peu et refaites le lentement pour parvenir à ce but. Puis passer au passage suivant.
Autre principe : pour laisser à votre cerveau le temps de digérer ce que vous lui donnez, laissez 10 à 15 secondes entre chaque répétition, voire plus si le passage est plus difficile. Mais pas trop longtemps sinon quelque part on se refroidit et il faut relancer la machine. Ce n’est pas impossible mais il faut le faire lorsque le besoin de se reposer vraiment s’impose à vous. Dans ce cas-là deux ou trois minutes voir un peu plus sont efficaces. Pendant que vous ne faites rien, le cerveau travaille et se repose aussi.
Autre chose aussi très importante, lorsque l’on passe à la répétition d’un autre passage attendez un petit moment afin que le nouveau passage ne se mélange pas avec le précédent. À cette fin attendez 30 voir 45 secondes. Vous éviterez ainsi des erreurs inutiles. Ces petits temps de repos sont, le temps me l’a largement prouvé, très importants dans la démarche d’apprentissage.
Autre principe très important : lorsque l’on a un problème à un moment donné il est absolument inutile de rejouer le morceau dès le départ pour résoudre le problème. C’est instinctivement ce que tout le monde fait et cela ne sert strictement à rien. Lorsque l’on a un problème à un instant précis il faut résoudre le problème à l’endroit où il se trouve et par la suite le réinsérer au cours du morceau en travaillant la jonction avec une petite section qui le précède. En principe il faut environ trois fois pour réussir à recoller un passage avec ce qui précède. Si cela ne suffit pas, ne pas insister et le refaire plus tard. Cela viendra tout seul. Attendez toujours bien entendu quelques secondes avant chaque répétition.
Donc pour éliminer une erreur commencez par répéter trois ou quatre fois le passage. Si cela ne suffit pas arrêtez-vous et revenez-y plus tard généralement cela suffit à l’éliminer. Sinon recommencez le même processus. Vous pouvez aussi le jouer très lentement afin de contrôler plus facilement vos gestes et corriger les erreurs tout en évitant bien entendu les trop nombreuses répétitions.
Ce travail de répétition ponctué de petites et courtes pauses est efficace un certain laps de temps et la fatigue peut survenir au bout d’un certaine durée. On s’en rend compte lorsque le nombre d’erreurs augmente et que malgré les répétitions ont ne parvient plus à enregistrer convenablement la musique. On peut ressentir cette fatigue mais pas forcément. Le nombre d’erreurs accumulées atteste pourtant de sa présence. Il se peut qu’une petite pause de 2, 3, 4, 5 minutes suffise mais si cela ne suffit pas, arrêtez définitivement pour la journée. Généralement les élèves commencent à fatiguer après une vingtaine de minutes. Une demi-heure pour certains. Cinq 10 minutes de repos peuvent parfois suffire à recharger les batteries et repartir pour une autre séance de travail qui cette fois risque de durer un peu moins longtemps. Généralement une séance globale de trois quarts d’heure voire une heure semble être une durée moyenne pour le cours d’un élève ou pour votre travail personnel. Après le travail n’est plus efficace car l’élève est fatigué. On le constate rapidement au nombre d’erreurs et à la difficulté de se concentrer qui s’ensuit. Il faut y revenir le lendemain voire dans un autre moment de la journée si vous devez ou pouvez.
En résumé une séquence de travail peut se présenter ainsi :
Un petit passage court et facilement réalisable se répète 3, fois sans erreur pour l’intégrer en tant que réflexes, automatismes. Avec 10 à 15 secondes d’arrêt entre chaque répétition ce qui n’est pas obligatoire si le passage est très facile. Puis après une pause un peu plus longue on passe au passage suivant et on lui applique la même recette. Et ainsi de suite pour la totalité du passage, du morceau si celui-ci n’est pas trop long. Après il convient de recoller les morceaux deux à deux voire plus si le morceau n’est pas trop difficile en appliquant toujours cette règle de répétition de trois fois avec de courtes pauses entre chaque. Il n’est pas forcément obligatoire que chaque partie soit sans faute avant de recoller les morceaux. Le temps de repos entre chaque répétition et chaque recollage peut suffire à permettre au cerveau de lui donner le temps de l’effectuer. Et tout ceci jusqu’à réaliser la totalité du passage voire du morceau le cas échéant. En général il suffit de trois répétitions pour recoller un passage avec un autre.
Pour enregistrer une séquence sans erreur il ne faut pas hésiter à la jouer dans un tempo assez lent. L’important étant d’enregistrer cette séquence sans erreur afin de fixer des automatismes, des réflexes. La vitesse ne pourra venir que si les automatismes sont convenablement fixés. Et ceci ne peut se faire que dans un tempo où l’on peut maîtriser ses gestes.
Bien sûr ne pas hésiter avant de mettre les mains ensemble à travailler les mains séparées, pour les pianistes bien entendu, les harpistes ou les organistes.
Dans le cas où l’on veut jouer un morceau en entier, je conseille de d’abord le travailler dans sa totalité lentement en consolidant les passages un peu fragiles. Puis laisser reposer 10 à 15 minutes environ et le jouer dans sa totalité ainsi le travail fait auparavant à permis une décantation et vous en récoltez les bienfaits.
On peut travailler un morceau pendant un certain temps, deux, trois semaines voire un mois mais après on commence à saturer, on est plus efficace. Mieux vaut le laisser et le reprendre plus tard, si on peut bien sûr. Dans ce cas vous bénéficierez d’un travail de maturation intérieure et lorsque vous reprendrez le morceau vous constaterez qu’il est plus facile à exécuter et que vous aurez fait des progrès sans vous en rendre compte. Dans le cadre d’un concours de fin d’année où le temps est compté on ne peut évidemment pas appliquer ce précepte. Dans ce cas-là ne pas hésiter à fractionner votre travail ponctué par des temps de repos plus ou moins long.
C’est le sentiment de saturation qui est dangereux et doit être interprété comme un ordre de tout interrompre. Si on peut respecter ses sentiments et ses rythmes naturels, le travail sera bien meilleur. L’envie n’est pas toujours nécessaire. On peut travailler sans être enthousiaste, juste motivé par le devoir. Avec l’enthousiasme, l’envie, c’est plus efficace, bien entendu. En tout cas évitez le travail s’il y a vraiment un blocage, un refus du corps et de l’esprit, une absence d’envie caractérisée, que l’on sentirait de façon évidente. Arrêtez temporairement ou définitivement.
D’une façon générale il vaut mieux un travail régulier qu’une grosse quantité de travail et ne plus rien faire par la suite pendant un certain temps. Dans ce sens lorsque l’on n’a pas beaucoup de temps, 5 à 10 minutes par jour sont plus efficaces que rien du tout. Souvent en se fixant de faire un travail trop long par rapport au temps dont on dispose on ne fait rien. Mieux vaut se fixer en cours de travail. On s’y mettra plus facilement et il est possible qu’une fois installé à l’instrument on travaille plus longtemps.
Mon expérience m’a prouvé que ma façon de procéder permet d’espacer les séances de travail d’une semaine environ si l’élève n’a rien pu faire ou ne veut rien faire. On récolte néanmoins la semaine suivante les fruits de la séance précédente et on peut ainsi continuer d’avancer, lentement certes, mais ça avance.
Pour le travail d’une pièce rapide il est impératif d’alterner lenteur et vitesse normale. D’abord l’apprendre bien entendu lentement pour bien installer les réflexes et accélérer progressivement jusqu’au tempo désiré. Si une fois montée au tempo on passe son temps à la jouer vite, à un moment donné on ne contrôle plus ses doigts et si l’on persiste, très rapidement le morceau se dégrade de plus en plus. Il faut très régulièrement réinstaller les automatismes dans la lenteur afin d’éviter cette détérioration.
Pour monter un passage à une vitesse rapide, on peut le sectionner en petits morceaux assez courts que l’on peut jouer quasiment immédiatement à la vitesse. On les répète trois fois chaque en se reposant entre selon toujours le même principe puis on enchaîne les bouts pour arriver à la totalité du passage. Il est important de se reposer un peu plus longtemps entre chaque répétition car le travail de la vitesse est plus fatigant nerveusement et surtout il y a le risque de perdre le contrôle de ses doigts si on enchaîne trop rapidement les répétitions, le cerveau se fatigant plus. Il est aussi très important régulièrement de rejouer lentement le ou les bouts ou le passage dans sa totalité pour ne pas perdre le contrôle de ses doigts et de risquer de détériorer les automatismes acquis sur ce passage.
Le jour d’un concours je conseil de faire le morceau en entier lentement en consolidant aussi tous les passages un peu fragiles. Évitez de le jouer à la vitesse car si cela ne va pas on s’énerve facilement et le fait de vouloir se rassurer va vous s’entraîner dans des répétitions compulsives qui vont vous entraîner dans la spirale infernale décrite ci-dessus.
Dans le cas où l’on veut rejouer un morceau qui a été travaillé il y a un certain temps, il ne faut surtout pas se précipiter et vouloir répéter de façon compulsive la pièce. Il faut faire quelques tentatives mais à intervalles espacés de temps de repos. Il faut laisser à la mémoire le temps de laisser remonter à la surface les automatismes et les réflexes enregistrés il y a un certain temps, et ceci d’autant plus que morceau a été appris longtemps auparavant. Le morceau se reconstituera plus facilement et le risque de faire des erreurs en sera d’autant plus diminué.
Cette méthode est très efficace car je l’utilise depuis plus de 30 ans. Elle a fait ses preuves. Elle permet de rapidement mettre les mains ensemble et d’apprendre avec un minimum de travail et un maximum d’efficacité dans un laps de temps relativement court. Les seules personnes qui n’ont pas pu l’utiliser sont des gens très perturbés intérieurement et émotionnellement. Dans ces conditions la mémoire ne peut pas vraiment efficacement imprimer ce que les gestes leur dictent. Mais la proportion de personnes vraiment gênées par ce type de perturbation est en réalité très faible.
Il est une chose que j’ai pu constater au fur et à mesure des années pendant lesquelles j’ai pratiqué ma méthode : il est plus facile de faire appliquer cette méthode en tant que professeur car on est un observateur extérieur et neutre, que de la pratiquer soi-même car bien souvent on est emporté par le désir et le plaisir de jouer le morceau. Mais avec un peu d’habitude on peut l’utiliser personnellement de façon très efficace. En parlant justement des enfants, il m’est très tôt apparu que les élèves jeunes sont incapables d’utiliser eux-mêmes cette méthode, pour des raisons évidentes de manque d’investissement suffisant et d’application nécessaire dans le travail et son suivi. Ils préfèrent jouer, se faire plaisir et trouvent ennuyeux d’appliquer les conseils d’organisation que je leur fournis. Néanmoins pendant le temps de cours que je leur dispense régulièrement je les fais travailler systématiquement de cette manière en leur expliquant le mécanisme fort simple et il arrive qu’au bout d’un certains temps quelques élèves, constatant son efficacité et la réduction du temps de travail (là aussi !), Ils l’utilisent, certes d’une façon relativement réduite. Mais c’est déjà un début. Leur montrer par l’exemple et attendre que l’intérêt naisse.
Voici résumé les principes les plus importants :
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Coupez le morceau ou le passage en petites cellules facilement réalisables.
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Ne pas répéter plus de 3 ou 4 fois un passage. Si cela ne suffit pas passer à autre chose.
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Le jouer 3 fois sans erreur avant de passer au passage suivant.
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Exclure toute forme de rabâchage donc changez très souvent de chose à travailler.
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Faire quasiment systématiquement de petites ou plus longues pauses entre chaque répétition et recollage.
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Pour résoudre un problème à un endroit donné, ne pas reprendre au début du morceau. Réglez le problème là où il est puis le recoller avec ce qui précède.
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Pour éliminer une ou des erreurs plus ou moins tenaces, s’arrêter et y revenir plus tard.
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Pour les morceaux rapides alterner lenteur et vitesse.
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Ne pas hésiter à faire une pause si on se sent fatigué. On travaille mieux reposé.
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Apprenez lentement pour bien installer les automatismes. La vitesse viendra progressivement par la suite.
Dernier conseil : je vous recommande d’expérimenter tout ce que je viens de vous livrer et de l’adapter à vos besoins. Bon courage !
Protégé par la S.G.D.L.